Mai 2017
Vendredi 19 : Philippe-Jean Catinchi signe, dans Le Monde des livres, une critique intitulée « Olivier Delorme, une brûlante réflexion » : « On retrouve dans Tigrane l’Arménien la parfaite conjonction du savoir-faire du romancier et de l’exigence de l’historien, pimentée ici par la tentation de l’éditorialiste. Autant de raisons de le laisser nous guider pour comprendre un présent qui, faute d’éthique et de mémoire, menace d’embrasements futurs.
Samedi 19 et dimanche 20 :Participation à la Comédie du livre de Montpellier.
Juin 2017
Nouvelles d'Arménie magazine (n° 241) consacre une page à Tigrane l'Arménien - « Quand le temps du génocide s'entremêle au nôtre » - sous la signature de Christophe Chiclet : « Mêlant le temps du génocide au
nôtre, Olivier Delorme nous entraîne d’Istanbul à Tiflis, de la Vienne des années 20 à Athènes. D’ailleurs, l’intrigue se termine
dans une capitale grecque ravagée par la
crise économique, par une austérité
imposée par la finance internationale et
européenne regroupées dans la tristement
célèbre Troïka, depuis 2010. Bref,
un polar historique haletant. »
Vendredi 9 : Présentation et signature à la librairie Ithaque, 73 rue d'Alésia, 75014 Paris.
Juillet-août 2017
France Arménie sous la signature de Tigrane Yégavian : « Maîtrisant le récit grâce notamment à un excellent travail de documentation historique, l’auteur nous fait partager ses deux passions grecque et arménienne. Mais qualifier ce roman de polar historique serait un brin réducteur. (...) Delorme se veut grave et accusateur, dénonçant une nouvelle et sournoise dictature qui ne dit pas son nom. En cela, la légèreté des dialogues – et des péripéties sentimentales du héros – se heurte à l’âpre violence du réel. “ Allons admirer le chaos, peut-être trouverons- nous une solution ” dit un des personnages. C’est là tout l’intérêt de la démarche de l’historien – écrivain, dont l’architecture du roman, fluide et aérienne, abolit la frontière entre passé et présent, mais aussi celle de la double appartenance sexuelle et identitaire (française et arménienne). Reste l’amour donc, comme ultime naufrage. »
Collectif Van (Vigilance arménienne contre le négationnisme) sour le titre « Un thriller engagé et puissant » : « Olivier Delorme nous livre un thriller magistral mêlant histoire du génocide arménien et dénonciation du sort inique que l'Union européenne fait subir à la Grèce. »
Mai- juin 2017
Suite à la mise en liquidation judiciaire des éditions de La Différence à la fin juin 2017, la diffusion de «Tigrane l'Arménien » a été bloquée durant presque une année. Il est denouveau disponible en librairie dans la collection de poche d'H&O Editions et sous une nouvelle couverture due à Méliné Ian.
Vendredi 25, samedi 26 et dimanche 27 :Participation à la Comédie du livre de Montpellier.
Juillet-août 2018
France Arménie : Entretien avec Tigrane Yégavian : "Tigrane revisité".
Octobre 2018
Jeudi 11 : Présentation et signature à la librairie francophone d'Athènes, To Lexikopoleio, en dialogue avec Mari-Mai Corbel, critique et écrivain.
Vendredi 12 : Tigrane est distingué par le "Prix du roman historique" 2018 décerné par le jury du Prix du roman gay.
Janvier 2019
Royaliste (n° 1158, 31 déc. 2018 - 14 janv. 2019), publie une critique de Bertrand Renouvin : « Le r oman d'Olivier Delorme est tendre et violent. On y boit des vins ensoleillés et on y mange des douceurs orientales. On vit des amours diverses et compliquées mais délicieusement charnelles. Le travail et les distractions sont ceux du commun des mortels... Qui pourrait deviner qu'il y a chez certains d'entre eux un fil tendu à l'extrême, quelque chose qui fait lien, formé pendant l'enfance et qui se renforce avec l'âge ?... »
|