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"Je fais mon métier d’écrivain avec passion et application ; je fais mon métier d’écrivain pour éveiller la curiosité, l’intérêt, je fais mon métier d’écrivain parce qu’il m’est devenu indispensable et que toute ma vie s’est réorganisée, en dix ans, autour de cette exigence-là." O. D |
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Maurice Sartre dans la Lettre bibliographique de L'Histoire : « En historien, [Olivier Delorme] se conforme à ses sources et le portrait qu’il dresse de l’homme politique athénien s’appuie, dans toute la mesure du possible, sur ce que la tradition historiographique nous a transmis à son propos, avec ses ambigüités et ses incertitudes. Et c’est là que la plume et l’imagination du romancier prennent le relais, avec un talent qui emporte la conviction. »
Le Figaro Histoire (octobre 2021) : « Il faut être audacieux pour placer un roman « antique » sous les auspices de Marguerite Yourcenar. L'auteur, amoureux de la Grèce où il vit, relève le défi (...). Olivier Delorme brosse un portrait attachant du bâtisseur de la flotte athénienne et du héros de Salamine... »
Maxime le Nagard pour Front populaire : « Et si c’était à cela, paradoxalement, que l’on reconnaît un véritable historien ? A cette capacité à réinvestir toute une époque, à en restituer la sève, non pas par les bibliographies et les notes de bas de page, mais dans une trame romanesque tissée au long cours. Car lorsqu’il s’agit de faire tenir debout une époque sur plus de 400 pages, il n’est pas possible de tricher.Il est peu de dire qu’Olivier Delorme maîtrise son sujet, et c’est un vrai bonheur de lecture. Sa connaissance parfaite du monde grec ancien lui permet de nous faire revivre la vie du grand homme d’Etat Thémistocle. Imaginez un thriller politique et civilisationnel niché au cœur d’une Grèce classique en ébullition, et vous aurez un premier aperçu des riches promesses de l’ouvrage. »
Stéphane Balthazard pour Hérodote.net : « De la tragédie à l’épopée, de l’art du dialogue à la dimension épique du texte, l’auteur de Thémistocle a tout maîtrisé. C’est pour cela qu’Olivier Delorme est un si grand conteur. Des scènes, si étincelantes et raffinées, du Banquet, donné en l’honneur d’Eschyle, en passant par l’atmosphère spectrale et shakespearienne du récit de Sikinnos, rapportant son entrevue terrifiante avec le perse Ariabignis, le récit conduit le lecteur, comme sur un fleuve impétueux, au cœur de l’action, multipliant les voix polyphoniques ; celles des acteurs majeurs de la bataille de Salamine, comme celles, en contrepoint, des citoyens ordinaires, métèques, affranchis, esclaves. Le personnage de Thémistocle, tantôt sensuel et tendre, tantôt impitoyable et de mauvaise foi, mais toujours intraitable sur la question cruciale des libertés du peuple grec, n’est qu’un des chefs d’orchestre, certes majeur, de cette sublime partition littéraire. »
Olivier Delorme est également l'auteur, sur ce site, d'une courte biographie, non romancée celle-là, de Thémistocle.
Daniel Casadebaig pour la revue Études : « Dans le roman d’Olivier Delorme, le « beau Stisileos de Kéos », un athlète, métèque finement éduqué, partage avec Thémistocle le récit de l’aventure de Salamine. Delorme, plus grec qu’un Grec, s’introduit dans les vides de l’histoire pour brosser un vaste tableau riche de métissages, d’amitiés viriles et de sensations diverses. (...) Une fable intemporelle qui nous dit l’ingratitude de l’histoire. »
Tigrane l'Arménien est de nouveau disponible en librairie dans la collection de poche d'H&O éditions
Philippe-Jean Catinchi dans Le Monde des livres (19 mai 2017) : « On retrouve dans Tigrane l’Arménien la parfaite conjonction du savoir-faire du romancier et de l’exigence de l’historien, pimentée ici par la tentation de l’éditorialiste. Autant de raisons de le laisser nous guider pour comprendre un présent qui, faute d’éthique et de mémoire, menace d’embrasements futurs. »
Christophe Chiclet dans Nouvelles d'Arménie magazine (juin 2017) : « Mêlant le temps du génocide au
nôtre, Olivier Delorme nous entraîne d’Istanbul à Tiflis, de la Vienne des années 20 à Athènes. D’ailleurs, l’intrigue se termine
dans une capitale grecque ravagée par la
crise économique, par une austérité
imposée par la finance internationale et
européenne regroupées dans la tristement
célèbre Troïka, depuis 2010. Bref,
un polar historique haletant. »
Tigrane Yégavian dans France Arménie (juillet-août 2017) : « Maîtrisant le récit grâce notamment à un excellent travail de documentation historique, l’auteur nous fait partager ses deux passions grecque et arménienne.
Mais qualifier ce roman de polar historique serait un brin réducteur. (...) Delorme se veut grave et accusateur, dénonçant une nouvelle et sournoise dictature qui
ne dit pas son nom. En cela, la légèreté des dialogues – et des péripéties sentimentales du
héros – se heurte à l’âpre violence du réel. “ Allons admirer le chaos, peut-être trouverons-
nous une solution ” dit un des personnages. C’est là tout l’intérêt de la démarche de
l’historien – écrivain, dont l’architecture du roman, fluide et aérienne, abolit la frontière
entre passé et présent, mais aussi celle de la double appartenance sexuelle et identitaire
(française et arménienne). Reste l’amour donc, comme ultime naufrage. »
Collectif Van (Vigilance arménienne contre le négationnisme) sour le titre « Un thriller engagé et puissant » : « Olivier Delorme nous livre un thriller magistral mêlant histoire du génocide arménien et dénonciation du sort inique que l'Union européenne fait subir à la Grèce. »
A l'occasion de sa reparution dans la collection de poche d'H&O, France Arménie (juillet-août 2018) publie mon entretien avec Tigrane Yégavian : « Tigrane revisité » .
Dans le bimensuel Royaliste (n° 1158, 31 déc. 2018 - 14 janv. 2019), Bertrand Renouvin livre une critique sensible d'un roman « tendre et violent » : « On y boit des vins ensoleillés et on y mange des douceurs orientales. On vit des amours diverses et compliquées mais délicieusement charnelles. Le travail et les distractions sont ceux du commun des mortels... Qui pourrait deviner qu'il y a chez certains d'entre eux un fil tendu à l'extrême, quelque chose qui fait lien, formé pendant l'enfance et qui se renforce avec l'âge ? »
Vous pouvez voir, en cliquant sur ce lien, la vidéo de la soirée de présentation de Tigrane l'Arménien à la librairie francophone To Lexikopoleio d'Athènes (jeudi 11 octobre 2018), animée par Mari-Mai Corbel, critique et écrivain.
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Disponible en librairie... ou sur le site de l'éditeur en cliquant ici.
Participation au débat de l'émission de Philippe Rossi (9 avril 2019), Les vraies voix/seul contre tous, sur Sud Radio, avec Patrick Mignon (Debout la France) et Jean-Marc Guyot (Gilets jaunes constructifs) sur le Brexit et l'Union européenne : le débat en image sur Facebook, l'émission (son seulement) en podcast sur le site de Sud Radio.
Intervention dans le magazine d'actualité Focus (4 avril 2019) de la première chaîne de la télévision publique grecque ERT, diffusé en direct de Paris et consacré à la situation en France avant les élections européennes, sur la responsabilité de l'euro et de l'UE dans la crise des Gilets jaunes.
Compte-rendu de lecture de Flavien Rehaut pour le site Soverain (3 avril 2019) : « Olivier Delorme fait parti de ces intellectuels qui peuvent (et qui doivent) tendre des ponts entre les militants souverainistes de la rive droite et gauche, en dehors de toute ambition partisane, pour précipiter la chute de l’UE et enfin permettre à la France de rayonner de nouveau. Être convaincu du caractère néfaste de l’UE est une chose, arriver à convaincre nos concitoyens est déjà plus difficile. C’est pourquoi ce genre d’ouvrage (on pourrait citer également le livre de Coralie Delaume « Le couple franco-allemand n’existe pas » et le livre de Jacques Sapir « L’euro contre la France, l’euro contre l’Europe ») est un support idéal pour informer votre entourage, et je vous encourage à titre personnel d’acquérir un de ces ouvrages de temps à autre, autant pour consolider vos connaissances mais surtout pour soutenir ces intellectuels qui consacrent du temps à défendre une cause qui nous est chère ! »
Entretien vidéo avec Olivier Rousseau (29 mars 2019) pour le site Soverain : Quel bilan pour l'UE ?
Participation au débat de l'émission Droit de suite (17 mars 2019), sur La Chaîne parlementaire (LCP), avec Jean-Louis Bourlanges, Hans Stark, Alberto Toscano sur le thème : « Les États-Unis d´Europe : toujours en chantier ? »
Entretien en deux parties paru ( 18 et 20 février 2019) sur le site Le Cercle des patriotes disparus, à propos de l'Union européenne et de la situation en Grèce : « Si en Grèce, l'Europe c'est la paix, elle ressemble de très près à la paix des cimetières », et « Le principal acquis de l'ère Syriza restera sans doute l'immense discrédit qui frappe le politique » .
Le 20 février 2019 : conférence sur l'Union européenne et l'euro, leur génèse, leur histoire et la nécessité d'en sortir, à l'invitation de Clément Echène et du Pôle de refondation communiste de France (PRCF).
Le 26 novembre 2018 : participation au débat de l'émission de Frédéric Taddéi Interdit d'interdire sur RT France, avec François Asselineau, Fabien Chevalier et Yves Gernigon sur le Brexit et l'Union européenne : « à quel prix peut-on sortir de l'Europe ? »
Les 27 novembre et 4 décembre 2018, le magazine culturel en ligne Le Comptoir publie un entretien en deux parties avec Galaad Wilgos intitulées : « Affirmer que l'Europe c'est la paix est une fadaise doublée d'une mystification » et : « L'UE est une construction fondamentalement anti-démocratique ».
Le 20 novembre 2018, le magazine culturel en ligne Putsch, publie un entretien avec son fondateur et directeur, Nicolas Vidal : L'euro est une arme des destruction massive pour la démocratie
Le 16 septembre 2017, mon ami Frédéric Farah (professeur d'économie, coauteur avec Thomas Porcher de Tafta, l'accord du plus fort, Max Milo, 2014, et de Introduction inquiète à la Macronéconomie, Les Petits matins, 2016 ; auteur de Europe, la grande liquidation démocratique, Bréal, 2017 ), et moi-même avons été invités par le collectif Citoyens souverains, appuyé par les Insoumis de Pyrénées-Ménilmontant, pour parler de la sortie de l'Union européenne et de l'euro, du Plan B et des critiques que nous lui faisons : la vidéo est en ligne sur Youtube.
Le site historique Herodote.net a consacré à mon livre un long compte rendu intitulé : « Quand l'histoire nourrit le débat » repris par plusieurs sites de la Toile, dont celui de la section du PCF du Bassin d'Arcachon.
Le 15 décembre 2016, j'étais l'invité du Méridien d'Europe de José-Manuel Lamarque sur France Inter.
Le 26 décembre 2016, Lenny Benbarra signe sur le nouveau site d'information Le Vent se lève (lvsl.fr) une critique intitulée : « 30 bonnes raisons pour sortir de l'Europe - De la critique à la mise à mort ». Sur le même site : entretien avec Lenny Benbara du 5 mars 2017 sur : « Le destin de l'UE est-il celui de la Yougoslavie ? ».
Le 31 décembre 2016, sur son blog, L'Arène nue, Coralie Delaume publie un entretien intitulé : « L'Europe fait preuve de cécité géostratégique face à la Turquie ! ». Sur le même blog, sont parus trois articles consacrés, le 4 mars 2017, à l'impasse économique, le 11 mars, à l'impasse géostratégique, et le 1er avril, à l'impasse politique dans lesquelles se trouve la Grèce aujourd'hui, du fait des politiques de l'Union européenne et de l'Allemagne. Ces articles ont été repris notamment sur le blog Les Crises d'Olivier Berruyer, ainsi que sur le site Initiative communiste du Pôle de renaissance communiste en France (PRCF).
Recension de Christophe Chiclet dans Politique internationale (n° 155, printemps 2017) : « Dans ce livre, c'est l'Europe anti-sociale et ultra-libérale, basée aux yeux de l'auteur sur une série de mensonges, qui est pointée du doigt ».
Royaliste (n° 1121, 25 avril-8 mai 2017), le bimensuel de la Nouvelle action royaliste (NAR), consacre aux 30 bonnes raisons deux pages, sous la plume de Bertrand Renouvin, qui reprend sur son blog cette recension intitulée : « Notre Europe à l'heure allemande », également relayée par le blog de gauche, anticonformiste et corrézien, Commun Commune, d'El diablo. Il est également repris par le site de gauche américain Counter Punch.
Pour mes lecteurs qui comprennent le grec, les 30 bonnes raisons... ont été très longuement présentées, le 11 janvier 2017, aux auditeurs de la radio du Pirée, dans la très populaire émission d'Andréas Mazarakis, à l'initiative et par mon ami, l'historien et ethnologue Panagiotis Grigoriou (qui va également lui consacrer bientôt un compte rendu sur son indispensable blog en français consacré aux développements de la « crise grecque » (greekcrisis.fr) où il l'a déjà cité plusieurs fois.
Le Concierge du blog en grande partie consacré aux affaires européennes Musée Europe a publié compte rendu - « manuel de résistance aux litanies de la propagande, politique, médiatique et demi-savante », « manuel d’éducation populaire », « 30 chapitres faciles à lire qui lapident les mythes de la propagande, historiquement, économiquement et politiquement » - qui définit fort bien mon projet.
Frédéric L'Helgoualch a consacré à ce livre une des chroniques (bien agréable à lire pour moi) de son blog hébergé par Mediapart : « Olivier Delorme présente ici un ouvrage indispensable, intelligent et surtout citoyen, qui met à bas les masques, les ficelles insoupçonnées d'une propagande bien installée. À découvrir absolument ! »
In girum imus nocte et consumimur igni, blog largement consacré aux affaires européennes : « C’est selon moi un ouvrage que tous les « gens de gauche » qui sont axés dans la lutte antifasciste et qui voient dans le FN le danger le plus immédiat devraient lire d’urgence, ils verraient que le fascisme n’est pas où on croit qu’il gîte et que l’ennemi principal n’est pas forcément le Front National[1]. La priorité avant de pouvoir faire de la politique, c’est de sortir de l’Union européenne et bien sûr de l’euro ». |
Écouter... regarder...
Écouter les entretiens sur France Inter, pour Allô l'Europe, à propos de La Grèce et les Balkans, les 24 février 2014 et 28 février 2014, et à propos de La Guerre de 14 commence à Sarajevo, le 17 octobre 2014.
Regarder Le Temps des Archives", le 24 novembre 2014 au MUCEM de Marseille, animé par Emmanuel Laurentin, avec Maryline Crivello, Françoise Arvanitis et Olivier Delorme, consacré au régime des Colonels et à sa chute.
Écouter La Marche de l'Histoire, de Jean Lebrun, sur France Inter, dont j'étais l'invité, le 26 janvier 2015, pour parler de la Grèce, de son entrée dans la Communauté économique européenne à son entrée dans l'euro.
Écouter Le Débat du jour de François Bernard sur RFI, le 26 janvier 2015, où je commentais, avec le géographe Michel Sivignon, les résultats des élections législatives grecques de la veille.
Écouter l'entretien avec Wendy Bouchard sur Europe 1 (Europe midi, 23 mars 2015) sur les dettes de guerre allemandes à la Grèce (à partir de l'indice 1.07.58).
Regarder le débat, En direct de Mediapart, le 5 mars 2015, sur : « Le parti Syriza peut-il parvenir à changer la donne européenne ? », avec Stelios Kouloglou (eurodéputé Syriza), Gabriel Colletis (économiste Toulouse-1), et Stefan Collignon (économiste, membre du SPD).
Regarder la présentation de La Grèce et les Balkans, en dialogue avec Yannis Mourélos, professeur d'histoire contemporaine à l'Université Aristote, lors du salon du livre de Thessalonique (9 mai 2015), à l'invitation du consul général de France et de l'Institut français de Thessalonique.
Regarder l'entretien avec Maja Neskovic, pour le site Hors-Série, intitulé : « une (longue) histoire grecque », sur les racines historiques de la situation actuelle de la Grèce, de son rapport à l'Europe et sur les développements de l'actualité de janvier à août 2015.
Écouter l'entretien avec José-Manuel Lamarque, pour Méridien d'Europe sur France Inter, le 10 novembre 2015, sur le thème : « La Grèce, un pays encore à genoux ».
Écouter l'entretien avec José-Manuel Lamarque, pour Méridien d'Europe sur France Inter, le 15 décembre 2016, le : « Existe-t-il des raisons pour vouloir sortir de l'Europe »
Écouter l'entretien de José-Manuel Lamarque avec Arta Seiti et Olivier Delorme, pour En direct de l'Europe, sur France Info, le 14 mars 2018 : « Balkans occidentaux, un élergissment qui fait douter ».
Regarder l'entretien avec Coralie Delaume, pour Polony TV, sur la situation de la Grèce et de la Turquie, enregistré le 24 août 2018.
Écouter l'entretien avec José-Manuel Lamarque, pour Chroniques littorales, sur France Inter, le 2 novembre 2018 : « Crise en orthodoxie », sur les causes et les conséquences de la rupture de la communion entre Constantinople et Moscou après la décision controversée du patriarcat oecuménique de reconnaître l'autocéphalie de l'Eglise schismatique ukrainienne.
Voir le débat ( lundi 26 novembre 2018) de l'émission de Frédéric Taddéi Interdit d'interdire sur RT France auquel je participe avec François Asselineau, Fabien Chevalier et Yves Gernigon sur le Brexit et l'Union européenne : « à quel prix peut-on sortir de l'Europe ? »
Écouter mon intervention sur RFI (18 janvier 2019), dans l'émission Appels sur l'actualité, sur la question macédonienne (c'est à partir de 14,30 minutes et des poussières) à la veille des votes de confiance au gouvernement Tsipras et de ratification de l'éaccord de Prespa.
Écouter ma conférence sur l'Union européenne et l'euro, leur génèse, leur histoire et la nécessité d'en sortir, à l'invitation de Clément Echène et du Pôle de refondation communiste de France (PRCF, 20 février 2019).
Voir le l'émission Droit de suite, sur La Chaîne parlementaire (LCP, 17 mars 2019), où je débats avec Jean-Louis Bourlanges, Hans Stark, Alberto Toscano sur le thème : « Les États-Unis d´Europe : toujours en chantier ? »
Voir l'entretien vidéo (29 mars 2019) avec Olivier Rousseau pour le site Soverain : Quel bilan pour l'UE ?
Voir (à partir de 1h30 du début) mon intervention dans le magazine d'actualité Focus (4 avril 2019) de la première chaîne de la télévision publique grecque ERT, diffusé en direct de Paris et consacré à la situation en France avant les élections européennes, sur la responsabilité de l'euro et de l'UE dans la crise des Gilets jaunes.
Écouter/voir l'émission de Philippe Rossi (9 avril 2019), Les vraies voix/seul contre tous, sur Sud Radio, où je débats avec Patrick Mignon (Debout la France) et Jean-Marc Guyot (Gilets jaunes constructifs) sur le Brexit et l'Union européenne : le débat en image sur Facebook, l'émission (son seulement) en podcast sur le site de Sud Radio.
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Et une pub (une fois n'est pas coutume !) pour mon copain Panagiotis Grigoriou, historien et anthropologue, qui tient l'indispensable blog greekcrisis.fr (n'oubliez pas que vous pouvez l'aider à continuer à nous informer sur ce pays, que lequel les médias de révérence ne cessent de nous désinformer depuis 2008, en faisant un don à partir du bouton accessible sur ce site).
Mais désormais, avec sa compagne Chryssoula Boukouvala, écrivain et éditrice, Panagiotis vous propose une balade ethno-historique dans Athènes, une virée en voilier dans les îles du Saronique ou les Cyclades, un raid en Thessalie, la région d'origine de Panagiotis et une superbe région méconnue, ignorée par les tours operators et les touristes en troupeau, une virée plus classique dans le Péloponnèse...
Un autre tourisme qui bénéficie aux Grecs, pas au multinationales, et vous fera approcher les réalités d'un pays et d'un peuple, en conjuguant la découverte de sites naturels somptueux et de témoignages des passés antique et byzantin aux plaisirs de la vie grecque, de la détente et de la mer !
Pour tout savoir, tout préparer et réserver avec Terra Incognita, c'est ici !
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